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Née sans ses deux pattes avant...
23/03/2016 21:14
Roux est un chat adorable qui est né sans ses deux pattes avant. A première vue, cette difformité devrait lui poser des problèmes. Pourtant ce petit animal vit très bien avec ! Entouré de gens qui l’aiment, Roux s’épanouit et s’adapte à sa situation avec beaucoup de courage. SooCurious vous emmène à la rencontre de cette boule de poils un peu particulière.
Roux est un petit chat adorable né avec une difformité congénitale, le privant de ses deux pattes avant. Pourtant, cette courageuse boule de poils n’en est pas moins heureuse puisqu’elle saute, fait des bêtises et s’amuse comme tous les chats devraient le faire. Son handicap l’empêche cependant de recouvrir ses excréments dans sa litière, une des raisons pour lesquelles le chaton a été abandonné. Heureusement, Jackie Deak Akey passait par là (elle-même vétérinaire en Louisiane) et devant une boule de poils aussi mignonne, elle a craqué. Elle l’a alors immédiatement adopté, pour lui offrir tout l’amour dont Roux avait besoin. Aujourd’hui, le petit chat s’épanouit dans un foyer aimant avec son nouvel ami Kangoroo, un petit lapin.
RElle a été abandonnée parce qu’elle était incapable d’enterrer ses excréments dans son bac de litière
Heureusement, Jackie, qui travaillait à la clinique vétérinaire, l’a immédiatement adoptée

Cette petite boule de poils est surnommée “lapin-chat” à cause des sauts qu’elle fait pour se déplacer

Elle passe du temps avec son cousin lapin, qui se nomme Kangoroo

Malgré ce handicap, elle est en très bonne santé

Elle a réussi à s’adapter à sa situation, elle fait tout ce que font les autres chats mais à sa manière

Lorsqu’elle grandira, Roux devra subir des examens au dos et aux pattes

Mais pour l’instant, il n’y a pas d’inquiétude à avoiroux est née avec seulement deux pattes
Elle a été abandonnée parce qu’elle était incapable d’enterrer ses excréments dans son bac de litière

Heureusement, Jackie, qui travaillait à la clinique vétérinaire, l’a immédiatement adoptée

Cette petite boule de poils est surnommée “lapin-chat” à cause des sauts qu’elle fait pour se déplacer

Elle passe du temps avec son cousin lapin, qui se nomme Kangoroo

Malgré ce handicap, elle est en très bonne santé

Elle a réussi à s’adapter à sa situation, elle fait tout ce que font les autres chats mais à sa manière

Lorsqu’elle grandira, Roux devra subir des examens au dos et aux pattes

socurious
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Plante Carnivore
19/03/2016 14:07
Une plante peut être qualifiée de carnivore quand trois critères sont réunis : attirer une proie, la capturer et la manger.
Il existe une grande variété de plantes carnivores dans le monde.
Pourquoi des plantes sont-elles devenues carnivores ? Cette convergence évolutive d’espèces, à l’origine différente, a-t-elle un point commun ?
Dans cet univers fascinant, le végétal devient prédateur et l’animal la proie. Pourtant, ce sont bien des plantes, mais qui ont su s’adapter pour survivre.
Les pièges utilisés par les plantes carnivores sont différents selon les espèces. Si certaines sont surtout insectivores, d’autres n’hésitent pas à piéger des mammifères comme le rat.
Portrait De La Plante Carnivore
Ces végétaux appartiennent à plusieurs familles dont voici les principales :
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Broméliacées. Exemple : Brocchinia originaire d’Amérique du Sud
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Dioconphyllacées. Exemple Triphyophyllum peltatum originaire d’Afrique
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Lentibulariacées. Exemple Grassette à grandes fleurs (Pinguicula grandiflora) originaire d’Europe...
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Népenthacées : Exemple Nepenthes mixta originaire de l’Insulinde
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Byblidacées : Exemple Plante arc-en-ciel (Byblis liniflora) originaire d’Australie
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Céphalotacées. Exemple Cruche à eau d’Albany (Cephalotus follicularis) originaire d’Australie
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Drocéracées. Exemple : Attrape-mouche de Vénus (Dionaea muscipula) originaire d’Amérique du Nord
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Martyniacées. Exemple Griffes du diable (Ibicella lutea) originaire du continent américain
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Sarracéniacées. Exemple : Plante cobra (Darlingtonia californica) originaire d’Amérique du Nord

Nepenthes sp. By kleo marlo
Les plantes carnivores sont présentes sur tous les continents. Il en existe environ 500 espèces. Cette adaptation est très ancienne puisque l’on a retrouvé des fossiles datant d’environ 85 millions d’années.

Une des nombreuses espèces de grassette (Pinguicula sp.). By Rore
Leur point commun est d’attraper et de digérer des proies pour augmenter leur apport nutritionnel.
En effet, ces plantes sont très bien adaptées aux milieux pauvres.
Elles prospèrent essentiellement dans des sols pauvres en matières organiques.
On peut par exemple en trouver dans des lacs au pH acide, dans des savanes sableuses ou en milieu très rocailleux.

Espèce de la famille des Népenthacées. By Spike 55151
Ces plantes se développent des plaines côtières jusqu’en haute altitude, à plus de 3000 mètres. La majorité des plantes carnivores sont terrestres, mais certaines sont aquatiques telle que la plante aquatique à roue (Aldrovanda vesiculosa).
Toutes les plantes carnivores possèdent des fleurs, mais ce ne sont pas ces fleurs qui jouent le rôle de piège. Ce sont toujours les feuilles.

Rossolis du Cap (Drosera capensis). By Rore
Il semblerait donc que certains végétaux soient devenus carnivores pour compenser la pauvreté du biotope. Les proies leur apportent notamment de l’azote et du phosphore.
Elles survivent d’ailleurs beaucoup moins bien sur des sols riches.
Les techniques de chasse des plantes carnivores
Des mécanismes variés permettent d’attirer les proies : feuille-mâchoire, glu, feuille-toboggan, nasse, mimétisme…)
On peut classer les pièges en deux catégories : les pièges actifs et les pièges passifs.

Rossolis à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) est présente en Europe. Les feuilles sont couvertes de poils glanduleux. By Alastair Rae
Parmi les pièges les plus caractéristiques, certains sont très subtils comme les pièges à urnes. Par exemple, les sarracénias attirent les insectes par leurs superbes couleurs et leur nectar.

Trompette jaune (Sarracenia flava). By scott.zona
Attirée par ce festin, la victime se pose en haut du cornet pour récolter le nectar. Mais, aussitôt, elle glisse, tombant au fond du cornet, et ne pouvant se rattraper tant les parois sont cireuses et garnies de soies rigides tournées vers le bas.
Le fond du piège est rempli d’un liquide garni d’enzymes.
Article du net
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Un vétérinaire s'enferme avec un chien malade pour le soigner !
18/03/2016 10:55
Andy Mathis est ce qu’on appelle un vétérinaire dévoué. Non seulement il accepte de soigner des bêtes abandonnées par leur maître (et donc, sans contrepartie financière) mais, en plus, pour arriver à ses fins, il est prêt à tous les sacrifices et à toutes les solutions !
Regardez par exemple ce qu’il a fait pour cette chienne malade et affamée… C’était un cas désespéré et, pourtant, grâce à une méthode audacieuse, Andy Mathis a réussi à la tirer d’affaire. Gros plan sur un véto qui a le sens du sacrifice… et beaucoup d’imagination !
e 29 janvier 2016, en fin de journée, Andy Mathis était en train de boucler son cabinet quand il a reçu un appel urgent : l’une de ses clientes venait de recueillir un chien abandonné, mal en point et squelettique. Andy Mathis l’a donc aussitôt invitée à ramener l’animal chez lui.
En voyant le rescapé, le vétérinaire était plus que circonspect. Il a même imaginé piquer la bête sur le champ, histoire d’abréger ses souffrances : outre ses blessures, son anémie et son hypothermie, le chien n’avait même plus la force de s’alimenter ! Et le plus gros problème, c’était ça : le chien semblait se résigner à une mort prochaine…
Mais Andy Mathis a finalement renoncé à l’euthanasie. Du moins, avant d’en arriver là, il s’est dit qu’il allait d’abord tenter un truc qu’il n’avait encore jamais fait par le passé. Pour lui redonner confiance et espoir, il s’est enfermé avec le chien et les deux compagnons de cage ont tout partagé… jusqu’aux repas !
Pour lutter contre la maladie, on est toujours plus fort quand on est entouré. Et apparemment, ce qui est valable pour les humains l’est aussi pour les animaux…
Axel Leclercq
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À la vie......à la mort...
16/03/2016 19:43
Nous avons tendance à croire que la fidélité en amour appartient uniquement aux humains.
Voici pourtant l'histoire touchante d'un petit couple d'hirondelles rustiques.
Cette femelle vient de subir un accident et elle est
dans une condition difficile et incertaine.

Son compagnon lui apporte de la nourriture
et la surveille avec amour et compassion.

Lorsque sa compagne s'effondre, il essaie de la déplacer.

Hélas, son amour est morte et il semble pleurer sa perte.

Il se tient près d'elle et crie sa tristesse devant sa mort.

Finalement, il semble se rendre compte qu'il ne peut rien faire,
qu'elle ne reviendra pas, et il se tient à son côté avec tristesse.

Les photos de ces deux hirondelles ont été prises en Ukraine.
Des millions de gens ont versé des larmes après avoir vu ces photos,
que ce soit en Europe, en Amérique et même jusqu'aux Indes.

Nous savons maintenant que, pour plusieurs espèces,
dont les hirondelles, l'union entre les couples, c'est...

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L'oiseau jardinier, ce grand romantique qui redouble de créativité pour séduire son âme s?ur
16/03/2016 18:23
Voici un oiseau qui ne ménage pas ses efforts pour obtenir les grâces de ces demoiselles, en établissant une véritable stratégie de séduction. Les oiseaux jardiniers mâles construisent sur le sol des tonnelles faites d’herbes sèches et de brindilles. Afin d’attirer les femelles, ces tombeurs décorent leurs garçonnières de façon créative avec des couleurs assorties et des effets d’optique, sans reculer devant la triche ou le vol pour se mettre en valeur…
Quand on retourne à Disneyland une fois sorti de l’enfance, on ne peut pas s’empêcher de poser des questions sur le règne des illusions. Mickey Mouse, par exemple, n’est pas du tout une souris, mais une personne déguisée en souris. L’architecture est elle aussi trompeuse. Ce château géant n’est pas aussi grand qu’il n’y paraît, parce que ses architectes ont appliqué un stratagème appelé perspective forcée : les fenêtres près du sommet sont plus petites, donc elles semblent plus éloignées.

L’oiseau jardinier aurait trouvé cet effet trompe-l’œil risible. Il déployait ses propres astuces visuelles bien avant que Walt Disney ait développé les siennes. Le jardinier à nuque rose mâle construit une belle structure tubulaire faite de brindilles, d’os et de coquilles d’escargots pour créer des cours à chaque extrémité. Il les organise d’une manière très particulière, bien qu’à l’opposé de ce qui se passe à Disneyland : en déployant la perspective forcée, le jardinier mâle rend sa cour visuellement plus petite. Et il le fait avec un objectif très précis : faire une belle rencontre et se mettre en couple. Voici la saga du jardinier séducteur, une romance qui comporte plus de mensonges, d’illusions et même de vols que certaines séries télévisées…
En Australie et en Nouvelle-Guinée, 24 espèces desPtilonorhynchidae (car tel est le nom scientifique de cette famille d’oiseaux) cultivent des rituels d’accouplement plutôt bizarres et qui nous font mieux comprendre l’expression « faire la cour ». Certains mâles construisent de bâtons et de brindilles sèches de grandes structures appelées des tonnelles qui ressemblent à des grottes, en aménageant une cour où ils amassent des objets de couleurs très particulières. Un tas de ferraille bleu, par exemple, pourrait inclure des baies, une pièce de plastique bleu et toutes sortes d’objets insolites. D’autres oiseaux jardiniers construisent des tonnelles plus simples et plus petites, faites de bâtons disposés verticalement pour créer une sorte de tunnel.

Le jardinier à nuque rose mâle est dans ce dernier camp privilégiant une décoration des plus minimalistes : pour aménager sa cour, il choisit les roches ternes, des coquilles d’escargots et des os. Mais il se rattrape sur le poids des décorations pouvant atteindre 11 kg. Cela peut prendre plus d’un mois à un mâle pour apporter, parfois de relativement loin (deux à trois kilomètres), tous ces éléments décoratifs.
Cependant la femelle du jardinier ne s’en soucie pas. La phase centrale de la parade nuptiale se déroule de la façon suivante : le mâle se place dans un buisson au-dessus de sa garçonnière et appelle la femelle. Si elle le rejoint, il va descendre et prendre position dans l’une des cours. « Il commence à se pavaner et puis elle va à l’intérieur [de la tonnelle], et il se pavane un peu plus et fait un drôle de bruit », dit l’écologiste évolutionnisteJohn Endler de l’université Deakin en Australie. « Une sorte de tick-tick-tick-tick. »

Maintenant, imaginez que vous êtes la femelle du jardinier à nuque rose. Les murs serrés de la structure dirigent votre attention sur la cour. Si le mâle avait placé des objets de toutes tailles pêle-mêle tout au long de la cour, elle semblerait assez grande à vos yeux. Les objets plus éloignés paraissent plus petits et donnent une impression de profondeur.
Or ce n’est pas ce qui se passe ici. Les os et les pierres semblent avoir la même taille parce que le mâle est en train de tricher. Il a placé les plus grands objets plus loin de l’œil et les petits plus près de vous. Selon Endler, cela a pour effet de rendre la cour plus petite et l’oiseau lui-même plus grand. Il utilise l’art de la perspective forcée pour se mettre en valeur.

Ce n’est pas la seule illusion d’optique utilisée par cet oiseau malin. A un autre stade du processus d’accouplement, il prend position à côté de l’entrée de sa charmante demeure, en se mettant de façon à ne pas obstruer la vue des objets à la femelle. Après tout, les mâles qui trouvent les objets les plus jolis et les plus colorés sont les plus désirables.
C’est là où cela devient intéressant : alors que l’extérieur de la tonnelle semble assez simple, le mâle a peint l’intérieur en rouge en mastiquant des morceaux de plantes et de fruits. Il n’a pas fait cela pour mettre la femelle dans l’ambiance, mais pour jouer avec sa vision de la couleur. Le mâle ramasse un objet typiquement coloré, que la femelle voit sur le fond gris de la cour, et l’agite. Il rejette l’objet, en saisit un autre, et l’agite aussi. Il va aussi secouer de temps en temps la crête colorée sur sa tête pour faire bonne mesure.

Pendant tout ce temps, les yeux de la femelle s’ajustent à la peinture rouge bordant la tonnelle. A ce moment-là, sa rétine compare les données fournies par différents cônes, c’est-à-dire des photorécepteurs sensibles au rouge ou au vert.
Mais la peinture est faite pour stimuler ses cônes rouges. « A la fin, la femelle va devenir moins sensible à la lumière rouge, ce qui fera ressortir les objets verts », explique Endler. La bataille entre les cônes rouges et verts est gagnée par les verts. (Les cônes humains fonctionnent de la même façon. Vous pouvez voir comment le vert et le rouge sont liés dans votre globe oculaire avec cette démonstration. En regardant les rayures vertes, vous désensibilisez vos cônes verts, donc quand vous regardez un objet blanc, le rouge remplace le vert de façon presque magique.) En effet, le mâle va agiter une quantité disproportionnée d’objets verts devant les yeux de la femelle habitués au rouge afin de l’impressionner.

Après ce rituel qui dure en moyenne une minute, advient la phase périphérique de la parade nuptiale. Le mâle court autour de la tonnelle en bombant le torse. Si la demoiselle en quête de reproducteur est réceptive, elle va le laisser s’accoupler avec elle. Sinon, elle va s’envoler comme une vraie allumeuse. En général, l’amoureux éconduit se console assez vite, étant adepte de polygynie.
Pour la mise en scène de la parade nuptiale, les mâles ne doivent pas seulement s’occuper de la logistique et des effets spéciaux. Les opportunistes n’hésitent pas à détruire les tonnelles de leurs voisins ou à voler des objets laissés sans surveillance. Ceci est relativement rare si les tonnelles sont espacées de plusieurs centaines de mètres. Mais quand la densité augmente, le maraudage aussi. « Il y a l’autre côté de la médaille : si vous partez marauder chez quelqu’un, votre propre tonnelle risque de subir le même sort », relativise Endler. « Cela ressemble beaucoup à ce qui se passe en politique, n’est-ce pas ? »

Il est vrai, l’oiseau jardinier n’est pas l’animal le plus loyal ni le plus fidèle en amour. Mais il est sûrement l’un des plus créatifs. Au lieu de simplement offrir un cadeau à la femelle ou bien d’exposer un plumage exubérant, le jardinier érige une construction digne d’une œuvre d’art.
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