- 110 grammes de sucre
- 110 grammes de cassonade claire
- 1 pincée de levure
- 225 grammes de farine
- 60 grammes de poudre cacao
- 150 grammes de beurre fondu
- 2 gros œufs
- Extraits de vanille
- 200 grammes de pépites de chocolat
- Mini-marshmallows RECETTE :
1. Dans un bol, mélangez la farine, la poudre de cacao et la levure.
2. Dans un autre bol, mettez le sucre, la cassonade et le beurre fondu, puis mélangez le tout. Ajoutez-y les œufs et les extraits de vanille et mélangez à nouveau.
3. Dans cette seconde préparation, ajoutez votre premier mélange, les pépites de chocolat, et mélangez le tout avec la Kitchen Machine.
4. Dans votre main, mettez 4 à 5 morceaux de marshmallows et couvrez avec une grosse cuillère de pâte. Formez une boule en plaçant les marshmallows au milieu.
5. Beurrez une plaque au four et disposez vos boules de cookies.
6. Cuire en deux fois 10 minutes.
7. Laissez-les refroidir 2 minutes avant de les ôter de la plaque, pour les poser sur une surface plate. Et bon appétit !
Les bus madrilènes ont désormais de la végétation sur leurs toits
03/01/2017 11:02
Suite à l’initiative d’un artiste paysagiste, la mairie de Madrid a entrepris le projet de végétaliser les toitures des bus et des abribus.
Il y a quelques années, l'artiste paysagiste espagnol Marc Granen avait remarqué, en regardant une photo aérienne d’une ville, que les toits des bus étaient des surfaces inutilisées. Ainsi, il créa la première toiture végétale, devenue un véritable écosystème mobile urbain (dans lequel vivent des plantes, mais aussi des insectes, grenouilles et autres lézards).
En plus de recréer un écosystème au cœur de la ville, la toiture végétale sert aussi à réguler la température intérieure du bus, la diminuant notamment de 3 à 4 degrés durant la période estivale.
Chaque jardin coûte près de 2500 euros d’installation, une somme expliquée par un système d’irrigation spécial pour éviter les fuites : « Chaque jardin sera formé de mailles métalliques et de matériaux durables capables de supporter le mouvement sans générer de fuites »
Le projet, intitulé « Mueverte en verde » (en français « Déplace-toi en vert »), vise à atténuer les effets de la pollution urbaine, comme un contre-pouvoir environnemental. Il sera testé sur 130 bus, sur les lignes 27 et 34, « qui traversent les zones les plus achalandées de la ville, du nord au sud et qui ont été empruntées par 17 millions de personnes l’année dernière ».
En plus de transformer les transports en commun en de nouveaux poumons environnementaux, les toitures végétalisées ont le mérite d’être plus agréables à regarder, redonnant des couleurs vives au décor urbain.
Foodwatch lutte contre les hydrocarbures présents dans notre alimentation
03/01/2017 10:36
Tout le monde s’en doute : avaler des hydrocarbures est très mauvais pour la santé. Ce qu’on sait moins, c’est que, justement, des hydrocarbures, on en avale tous les jours ! 60% des aliments testés en France seraient contaminés. Il est temps que ça change.
L’ONG Foodwatch défend les droits des consommateurs. Son objectif : que chacun « puisse librement décider de ce qu’il mange, en toute connaissance de cause et sans risque« . Alors, forcément, des hydrocarbures planqués dans les céréales de nos enfants, ça ne lui plaît pas trop.
Ça ne lui plaît pas pour deux raisons. D’abord parce que les industriels n’en parlent jamais mais aussi et surtout parce que les hydrocarbures (qui contaminent l’alimentation via les emballages) sont soupçonnés d’être cancérogènes, perturbateurs endocriniens et mutagènes. Rien que ça…
En octobre 2015, après toute une batterie de tests, Foodwatch avait nommément désigné les produits coupables. Parmi eux, nous pourrions citer : des lentilles Auchan, des pâtes pour enfants de la marque Carrefour, du riz E. Leclerc, du cacao Van Houten, de la poudre chocolatée Nestlé ou des corn-flakes Intermarché et Monoprix…
Depuis, ces révélations ont semble-t-il produit leurs premiers effets : de nombreux distributeurs (notamment ceux cités ci-dessus), ont pris des engagements forts contre la présence d’hydrocarbures dans l’alimentation.
Mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir. C’est pourquoi l’ONG fait tourner une pétition destinée au gouvernement français. Objectif :
« Fixer des limites strictes à la quantité d’huiles minérales présentes dans les aliments et rendre obligatoire l’utilisation de barrières adéquates pour tous les emballages en papier et carton. (…) notre santé ne peut pas dépendre du bon vouloir des fabricants ou de la grande distribution. »
Pour une nourriture un peu plus saine, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Et, en attendant que la loi bouge enfin, si vous voulez éviter de manger n’importe quoi (des hydrocarbures par exemple), voici la liste des aliments contaminés (liste de novembre 2015).
Lisa M. Ca est allemande et s’est installée il y a peu aux Etats-Unis dans le Michigan. Ses passions ? La photographie et les oiseaux.
Lorsqu’elle a rejoint son mari aux Etats-Unis, dans le comté de Macomb, la jeune femme était intriguée par les espèces d’oiseaux qu’elle découvrait sur place. Les saisons et le climat se ressemblent par rapport à son Allemagne natale… mais les oiseaux, c’est une toute autre histoire !
Elle a alors décidé de commencer à nourrir les animaux pour pouvoir les prendre en photo. Elle explique, dans les lignes du Metro Times :
« Je voulais me rapprocher un peu et j’ai commencé à chercher quels appareils je pouvais trouver pour compléter mon équipement. C’est ainsi que j’ai trouvé une cabine photo pour oiseaux. »
Concrètement, il s’agit d’une sorte de photomaton à oiseaux qui permet à un appareil de se déclencher dès qu’un oiseau se pose à proximité.
Le résultat ? Des gros plans absolument superbes sur ces oiseaux en train de se nourrir ou se rafraîchir. La jeune femme a décidé de partager ses photos sur les réseaux sociaux et les réactions ne se sont pas faites attendre : son album a été partagé plus de 30 000 fois depuis.